Entre 50 et 55 participants le samedi, 43 le dimanche matin.
68 % ne sont pas militants de la ligue.
Assemblée majoritairement masculine, surtout le samedi
Ordre du jour :
1) Débat politique général sur ‘quelle écologie voulons-nous »
2) Expériences locales des collectifs NPA
3) Organisation d’un réseau écolo dans le NPA qui pourrait à terme devenir une commission écologie
1) Débat politique général sur ‘quelle écologie voulons-nous ?’
Introduction de Vincent GAY sur la base de l’appel écologie pour un nouveau parti anti capitaliste :
– quelle écologie défend-on ?
– Nécessité de l’anticapitalisme pour une écologie à auteur des enjeux
– Quelle articulation aux luttes immédiates et le projet d’une société alternative qui mette en en son cœur la défense des équilibres écologiques.
– Articulation question sociale / question environnementale, et nécessité de travailler sur le rapport des sociétés à leur environnement
– Participation aux luttes écologistes dans le monde et en France, souvent très éparses : travailler à leur convergence dans la construction d’un autre projet de société prenant en compte de façon fondamentale l’environnement.
– Références à l’éco-socialisme, sur la base des acquis de la LCR à enrichir, étendre, compléter.
Ce débat a donné lieu à de très nombreuses interventions, à la fois d’ordre général mais aussi abordant des thèmes précis comme la pêche, la recherche, l’urbanisme, la montagne, l’agriculture… Débats autour de la décroissance récurrents. Vous trouverez à la fin du compte-rendu l’intégralité de la retranscription des interventions lors de ce débat.
2) Expériences locales des collectifs NPA
Vu la longueur du débat précédent et l’heur tardive, cette partie a été écourtée.
8 collectifs ont fait état de leurs expériences
Antony – Eure :
Activités antinucléaires autour de l’EPR qui va coûter plus cher et polluer davantage, et des sites d’enfouissement qui sont en train d’être désignés.
Question du contournement du Barrot Eurois et du pont inutilisable en hiver.
Gérard- Rhône :
Malgré les listes AUDACE, difficultés de maintenir les liens avec les objecteurs de croissance qui restent dans l’expectative, et peu d’influence dans les milieux écolos
Pas d’activité proprement écolo de la part des comités NPA mais récit d’expériences dans les usines de la chimie :
Evoque l’entreprise RHODIA qui gagne plus d’argent en vendant des droits de polluer (à des sociétés japonaises par exemple) qu’en fabricant des produits chimiques. Cette entreprise utilise outrageusement l’écologie pour organiser sa communication. Travail dans la CGT sur ces questions, ainsi qu’un débat sur les changements climatiques. Actions de propagande contre une filiale de Total
Une filiale de RHODIA qui produisait de l’acide fluorhydrique a fermé ses portes pour cause de rentabilité et supprimé 140 emplois. Pour s’approvisionner en acide fluorhydrique RHODIA fait venir d’Allemagne 150 000 tonnes de ce produit, sans se soucier des dangers liés au transport. Cet exemple montre le lien étroit entre défense de l’emploi et écologie.
Il faut dénoncer l’incohérence des chaînes de transport.
Tous ces exemples démontrent le lien étroit entre emploi–social-écologie.
Christine -Bouches du Rhône.
Un tract a été édité et diffusé sur les marchés, relatif à la nationalisation de TOTAL, avec un succès réel. Il faut d’abord que le NPA existe et se structure, mais les idées et les actions sont prêtes.
Claude- Meuse.
Au sujet de la lutte contre le nucléaire il fonde beaucoup d’espoirs car la LCR s’est déjà beaucoup investie sur ce thème, ainsi que sur celui des OGM. Mais cela n’a pas eu d’effet sur une attirances des écolos vers la LCR, mais le NPA peut être plus fédérateur autour de ces luttes. Il souligne le fait que dans le collectif « Sortir du nucléaire » il y a peu d’anticapitalistes. Il constate également que dans le NPA tous ne sont pas antinucléaires...
Annonce est faite des manifestations du 12 juillet à Paris organisée par le collectif « Sortir du nucléaire ».
Yannick- Vendée.
Le NPA en est à ses débuts, mais s’il apparaît déjà au niveau de certaines batailles : renationalisation de l’eau, faucheurs volontaires.
Il mentionne le fait que l’extrême droite (de Villiers) porte également une certaine idée de l’agriculture biologique sans OGM.
Il rappelle les luttes et les éco-libertaires de Barcelone (« No Passaran »), contre les lignes à haute tension portant l’électricité en provenance de France.
Emergence d’éco villages. Liens avec la Confédération Paysanne pour mettre à disposition des terres pour les agriculteurs.
X – Tarn :
Il est faucheur OGM. Le NPA a raison de s’emparer des questions écologiques et de les porter au plan politique sur l’anticapitalisme. Localement dans sa région la motivation sur ces questions est forte.
Régis- Calvados.
Les débats sur la décroissance doivent être poursuivis car porteurs d’idées nouvelles et de projets de société convergents avec nos propres idéaux.
Au sujet du nucléaire il constate que l’opposition à l’EPR motive peu les membres du NPA.
Bastien- Haute Garonne.
Localement la commission écologie de la LCR a été transformée en commission NPA. La commémoration de l’accident de Tchernobyl avec le collectif « Sortir du nucléaire » a été l’une des premières actions de cette commission. Elle comprend une cinquantaine de faucheurs volontaires.
3) Organisation d’un réseau écolo dans le NPA qui pourrait à terme devenir une commission écologie
A l’ordre du jour, il était question de tracer des pistes organisationnelles dans la perspective et en préparation du congrès fondateur du nouveau parti prévu en janvier 2009.
Cependant, le débat s’est partiellement poursuivi sur les thèmes de la veille (décroissance, alimentation, énergie, nucléaire militaire, internationalisme du combat écologique, articulation entre les différents thématiques écolos et avec les autres thématiques du NPA, recours ou non aux « spécialistes » pour notre construction programmatique, etc. )
Concernant l’organisation, nous avons avancé les propositions suivantes :
– création d’une liste mail « NPA écologie » interactive et ouverte à tous
– création d’un groupe provisoire national d’animation et de coordination
– nouvelle conférence nationale de la commission écologie avant le congrès qui se déroulera sur un week-end. Une camarade de Marseille propose que cette réunion ait lieu dans les Bouches-du-Rhône.
Ces décisions ont fait l’objet d’un large consensus, à condition que le groupe d’animation provisoire s’occupe réellement de coordination et non de direction, en accord avec les principes de construction par la base et avec l’exigence de démocratie réelle du NPA.
Par ailleurs, sans recueillir l’unanimité, plusieurs délégués ont préconisé le choix d’un thème d’action nationale dont pourrait se saisir le NPA dès que possible et d’ici au congrès. La proposition de la nationalisation de TOTAL en lien avec les problèmes énergétiques a notamment été émise.
D’autres délégués, soulignant l’ampleur de notre tâche actuelle, souhaitaient plutôt laisser l’initiative aux comités de participer ou d’organiser les actions de leur choix localement et nationalement.
Définition d’un thème national ou pas ? D’un point de vue démocratique, il convient que les comités locaux s’emparent de ce débat pour que cette question puisse être tranchée. Mais en l’état actuel des choses, la commission écologie réunie ce week-end ne pouvait prendre de décision de campagne pour la rentrée.
Enfin la participation et l’apparition du NPA dans le plus grand nombre possible d’actions et de manifestations locales et nationales ont été jugées indispensables par une large majorité des délégués.
A ce titre, il serait souhaitable que les comités en accord avec ce principe se mobilisent pour la manifestation nationale du 12 juillet à Paris, organisée par le réseau Sortir du Nucléaire, et qui mêle pour la 1re fois la thématique antinucléaire à celle du réchauffement climatique.
La matinée s’est conclue par l’inscription de nombreux camarades au groupe d’animation national :
Gilbert (Ardèche - non LCR)
Mélanie (Lozère -non LCR)
Bénédicte (Ain - non LCR)
Christine (Bouches du Rhône- LCR)
Jean-Luc (Avignon - non LCR
Mathieu (Doubs - non LCR)
Alexandre (Pontarlier - non LCR)
Christian (Quimperlé - LCR)
Louis (Pont Labbé - non LCR)
Michèle (La Vieille Loye 39- non LCR)
Murielle ( Villejuif - non LCR)
Aurélie ( Vienne (la ville) 38- non LCR)
Thierry (St Brieuc - non LCR)
Pascal (Dieppe - LCR)
Vincent (Coudrecieux - 72 - non LCR)
Vincent (Tours - non LCR)
Claude (Meuse - LCR)
Mariejke (Brive LCR)
Vincent (Seine Saint Denis - LCR)
Cette première liste pourra bien entendu être complétée avec les personnes absentes lors de la réunion
Annexes : Les interventions dans le débat politique :
Christian – Finistère :
Considère l’appel parfaitement en phase avec les attentes des gens en matière d’écologie. L’écologie doit permettre de combattre le capitalisme.
Vincent – Indre & Loire :
Partage également l’appel, c’est un ciment des luttes écologistes à mener dans le futur. Est d’accord avec la contribution de Belfort en page 22 du document : il faut intégrer la décroissance dans nos réflexions. En Bretagne l’agriculture productiviste est à l’origine de nombreux gaspillages et de déchets. La production de viande est grosse consommatrice d’eau.
Penser à une gestion collective de l’eau qui est un bien commun et précieux.
Des habitudes sont à changer : manger les productions de saison, produites localement. Tendre vers une baisse réelle de la consommation : ratio production / consommation.
Le problème des OGM : pris en main par les faucheurs volontaires.
Il faut poursuivre l’action pour sortie du nucléaire.
Louis – Finistère :
Dans la cris actuelle sur le pêche, ce sont les petits artisans qui sont les plus menacés par rapport aux pêcheries industrielles largement favorisées par la politique européenne : alors qu’il existe par exemple une veille écologique sur la sardine, on constate que dans le même temps les criées sont abondamment fournies par les pêcheurs industriels.
En méditerranéenne , alors que la pêche au thon rouge est réglementée, on voit des pêcheries turques ou japonaises engraisser les thons avec des maquereaux et des sardines, alors que ces deux espèces sont elles mêmes en veille. Les pêcheries d’Amérique latine polluent les océans et fournissent les marchés européens. Il critique la supranationalité des décisions et le dumping social.
L’aquaculture n’est certainement pas l’avenir : il faut entre 3 et 5 tonnes de poisson pour « fabriquer » une tonne de thon rouge.
Il faut dans le domaine de la pêche également, mettre fin au productivisme.
Didier - Loire :
Relate ses difficultés par rapport à son voisinage et au règlement de sa copropriété pour installer des récupérateurs d’eau de pluie, qu’il a été obligé d’enlever au bout du compte.
Comment persuader les gens que la Terre est un bien commun et limité ? Comment faire accepter des gestes qui dépassent le cadre du confort quotidien ?
Mathieu – Paris :
Il y a un lien entre l’écologie et l’anti capitalisme, mais il faut dénoncer aussi le productivisme : il faut démonter qu’une alternative est possible.
Michel – Charente :
Il faudra dans l’écologie anti capitaliste que nous avons à construire, effectuer un gros travail d’éducation, de pédagogie et d’explications.
Intervenant X :
Il faut développer la notion se service public chaque fois que c’est possible, en particulier dans le domaine des énergies.
Le combat contre le nucléaire doit être continué : le système n’est pas rentable et rapporte pourtant beaucoup d’agent aux sociétés qui en ont la gestion.
Il faut dénoncer la réorientation du nucléaire vers les centrales EPR.
Il faut créer des liens avec les secteurs qui polluent le plus, avec les travailleurs les plus exposés : les agriculteurs par exemple en ce qui concerne les pesticides.
Benoît – Gironde :
On ne peut pas avoir que des positions morales revêtues d’un vernis scientifique sur les questions écologiques de fond. Nous risquons de perdre toute crédibilité si l’on s’engage dans ce type de voie. Nous devons éviter de participer aux polémiques entre scientifiques , voire à la promotion de mensonges.
La biodiversité est une notion très vague.
Gérard - ?
Nous devons avoir une position conservatrice par rapport à l’environnement qu’il nous faut protéger.
Il faudra participer à la décroissance et faire des choix en se privant de certains besoins (moins de béton, moins de voiture, etc), mais on ne peut pas se contenter de positions individuelles. Ne pas oublier dans le même temps que nous avons besoin de mobilité.
Laurent – Alpes :
Relate la lutte et l’engagement de la population dans lé défense du Parc des Ecrins.
Marc – Tarn :
L’écologie doit être centrale au niveau politique dans le NPA. Il fut favoriser la recherche en réorientant les flux financiers. Il faut relocaliser la production d’énergie et la diversifier : utiliser efficacement la force des marées.
Au plan architectural il convient de repenser les villes.
Alex de Pontarlier :
Souligne le fait que l’écologie est un axe politique principal pour lutter contre le capitalisme, qui transcende tous les autres volets politiques, sans oublier de s’attaquer aussi au productivisme.
Claude – Meuse :
Raconte la lutte contre les déchets nucléaires de Bure, quand il fut reçu au ministère de l’environnement du gouvernement Jospin. Le seul moyen de combattre les enfouissements des déchets nucléaires est de mobiliser le plus grand nombre dans cette action.
Il considère qu’il y a un lien évident entre écologie et anti capitalisme.
Se pose également de façon urgente le problème du réchauffement climatique en relation avec les émissions de gaz à effets de serre dont s’emparent les défenseurs du nucléaire : il faut convaincre de l’intérêt de l’éolien, plus rentable que le nucléaire et créateur d’emplois.
Il faut sortir du capitalisme en insistant sur le fait que ce n’est pas le marché qui décide de tout.
William – Etincelle :
La décroissance peut poser problème : pourra – t – elle répondre aux besoins de l’humanité dans le futur ?
L’agriculture biologique n’est pas prête aujourd’hui à satisfaire les besoins alimentaires de la population. Il faut arrêter de produire sans tenir compte des besoins des populations : il faut socialiser la production.
L’arrosage des cultures est une catastrophe écologique. Les patrons pillent le milieu naturel.
Le Grenelle de l’environnement n’a produit que des effets d’annonces.
Christine – Bouches du Rhône :
Une commission écologie a été constituée dans le 13, département très touché par les questions écologiques sous les effets catastrophiques du capitalisme.
Le NPA doit être nécessairement écologiste. Il faut développer les transports en commun. Il faut abandonner la notion de développement : il n’y a plus de milieux protégés.
Il faut nationaliser la firme TOTAL.
Pierre – Ille et Vilaine :
Il faut repenser la politique de la ville par rapport à l’écologie : il faut repenser le rapport entre les citoyens et leur milieu, pour vivre sainement en ville. Il faut travailler sur le milieu urbain et réconcilier la ville et l’écologie.
Jean-Luc – Vaucluse :
D’inspiration marxiste l’écologie politique doit être internationaliste, et répondre en pleine cohérence aux problèmes que le capitalisme pose aux peuples du monde entier en terme d’écologie, en particulier les pays émergents.
Il faut travailler à la crédibilité des propositions du NPA en terme d’écologie afin de constituer le plus grand nombre.
Les questions de l’agriculture biologique et du nucléaire doivent être débattues.
Arnold – Hérault :
Il faut construire progressivement nos propositions en terme d’écologie car nous n’avons pas toutes les réponses aux questions posées tout de suite. Au centre doit se trouver la démocratie et le droit fondamental de se tromper. Il tient à l’indépendance des comités et s’oppose aux courants verticaux du haut vers le bas au sein du NPA. Il faut s’appuyer sur les expériences et réflexions de chacun.
Laurent – CE – LCR :
La question écologique constitue un véritable enjeu, c’est une question centrale. L’engouement crée par l’écologie au sein du NPA est un bon signe. Il faut construire un parti écologique et social : la faillite des Verts provient de leur incapacité à proposer une alternative sociale.
Il conviendra d’élaborer un programme immédiat et de transition. Les débats relatifs à la décroissance, au capitalisme, etc doivent être riches et constructifs.
Michèle – Jura :
Les politiques doivent rendre obligatoire certaines actions : favoriser le bio par rapport à l’agriculture conventionnelle, privilégier le solaire dans l’architecture, promouvoir les économies d’énergie, limiter les déchets dus aux sur-emballages.
Les gens ne modifieront pas leurs habitudes sans un minimum de contraintes.
X - Savoie :
Le ferroutage ne doit pas être oublié : c’est une vraie bonne solution. Le mouvement de la décroissance ne pose pas d’analyse critique sur le mode de production.
Il cite l’exemple de l’usine de Péchiney à Saint Michel de Maurienne qui fabrique de l’aluminium au prix de pollutions considérables : il faut fermer ce site et réparer les dégâts.
Au sujet de l’ EPR il faut être nombreux : le NPA peut être une force capable de mener des campagnes nationales sur l’écologie.
Laurent – Collectif « Sortir du nucléaire » :
Par la décroissance on peut remettre en question un certains nombre de gestes et de postures : en agglomération plus de 50% des voitures parcourent moins de 3 km par jour !
Il faut sortir de la double contrainte liée au marketing capitaliste : production + consommation. Il faut réorienter la production.
Il faut aussi développer les coopératives bio près des centres urbains.
X - Côtes d’Armor.
Il faut reconstruire écologie et social. Avec la décroissance il faut sortir de l’individualisme, et lutter contre l’obsolescence programmée des produits et le gaspillage qui va avec.
Les sociétés sont fragilisées par l’organisation catastrophique des transports. Il est difficile d’aller contre le productivisme en agriculture du fait de l’opposition du milieu agricole lui même.
Comment produire autrement demain ?
Propose un droit des peuples à se nourrir eux-mêmes, en particulier pour les pays du Sud. Notion de calories entrantes / calories sortantes.
Thomas – Confédération Paysanne.
La question de l’agriculture a un peu été délaissée par la LCR. Les petits producteurs sont les plus exposés aux conséquences de la crise. Même si la planification de la production mise en place dans les pays de l’Est s’est soldée par un échec, le productivisme actuel est dans l’impasse. Il faudra résoudre la question : qui décide de la production ?
Le milieu paysan est très réactionnaire : 20% d’entre eux touchent 80% des aides. L’agriculture vivrière meurt, la surproduction est mal répartie : le problème de fond est le partage de la production.
La Confédération Paysanne est engagée dans la défense de la condition sociale des agriculteurs.
Il faut produire autrement en gaspillant moins : par exemple il faut 2 tonnes d’équivalent pétrole pour fabriquer 1 tonne d’amonitrate.
Antony – Eure :
Dans une absurdité la plus totale le Brésil produit du pétrole vert alors que sa population est affamée ! Il faut aider les peuples à accéder à leur autosuffisance.
Louis – Finistère :
Un certain nombre de sujets qui reviennent de façon récurrente méritent d’être analysés au plan général : bio carburant, éco tourisme, démocratie, etc, et d’être mis en ligne. Pour ce qui concerne la pêche il propose de s’en charger.
X :
Il faut penser à l’internationalisme de nos propositions écologiques. Les pays émergent ne pourront pas consommer comme l’ont fait les pays riches capitalistes. Certains anti capitalistes ne sont pas écologistes.
Il faut s’intéresser au réseau des villes lentes, organisées pour rendre la vie agréable aux gens.