L’impréparation des autorités et le manque de vaccins alimentent la colère populaire. Les Tunisiens sont obligés de s’organiser eux-mêmes.
Chaque nuit, l’angoisse refait surface : « J’ai du mal à dormir car j’ai peur de mourir dans mon sommeil, par manque d’oxygène. » Rim, 38 ans, est (…)