Le Conseil d’Etat a estimé fin 2015 que « nul ne peut être détenu arbitrairement ».
Rétablir l’état d’urgence, interner les fichés « S »… Des élus ont versé dans une forme de surenchère après l’attaque terroriste de Carcassonne et de Trèbes (Aude), le 23 mars, au risque de commettre des approximations. Ainsi, Manuel Valls a appelé à envisager la rétention administrative des fichés « S » les plus dangereux. L’ancien premier ministre reprend ainsi une demande de la droite ces dernières années.
Candidat malheureux (...)