Il est 20h40, la nuit est noire, le vent est fort. Il s’engouffre dans les grands arbres aux corps pétrifiés s’arrachant de la canopée formée par les cacaoyers. Car si ce qui est au-dessus de ce toit végétal est voué à mourir, le reste est devenu la chambre aux trésors du planteur. « Au temps de mes (...)