Au cours d’une intervention syndicale à l’aéroport Magenta de Nouméa jeudi matin localement, une grande partie de la direction de l’USTKE dont son président Gérard Jodar a été arrètée avec de nombreuses violences à la clef.
Alors qu’il s’agit d’un conflit social portant sur un licenciement abusif, rien ne justifie une telle répression. L’accusation d’avoir posé une bombe dans un avion est un grossier mensonge qui ne trompe personne, c’est clairement la volonté de décapiter l’USTKE, premier syndicat du territoire.
Le NPA exige la libération immédiate de tous les syndicalistes.
Montreuil, le 28 mai 2009