Soit c’est grave, soit c’est absurde, et dans ce cas c’est choquant. La question s’impose, plus de quatre mois après le début de l’« affaire de Tarnac ». C’est le 11 novembre, en effet, que neuf personnes appartenant à la mouvance anarcho-autonome sont interpellées à Tarnac (Corrèze), mises en (...)