Extrait du livre d’Elliott Liu, Révolution et contre-révolution en Chine maoïste, Paris, Syllepse, 2018.
Après les émeutes de Lhassa en 2008, le porte-parole du ministère des affaires étrangères, Qin Gang, a accusé le dalaï-lama d’être « le chef suprême d’un régime théocratique reposant sur le servage ». (...)