Europe Solidaire Sans Frontières
, par WON Youngsu
La Cour constitutionnelle de Corée du Sud a finalement ratifié la destitution de l’ancien président Yoon Suk Yeol le 4 avril, 111 jours après que le Parlement a voté sa destitution pour sa tentative d’auto-coup d’État du 3 décembre. Expliquant la décision unanime des juges, le président en (…)
, par JUNG Hawon
Yoon Suk Yeol a accédé au pouvoir en courtisant les antiféministes. Maintenant, les jeunes femmes vont être sa perte.
Des manifestants agitent des bâtons lumineux lors d’une manifestation réclamant la démission du président Yoon Suk Yeol devant l’Assemblée nationale de Séoul, le 10 décembre (…)
, par WON Youngsu
La Corée du Nord est une énigme à bien des égards, mais la décision du dirigeant Kim Jong Un d’envoyer des troupes pour combattre dans la guerre de la Russie en Ukraine a choqué de nombreuses personnes en Corée du Sud et à l’international. Beaucoup se demandent pourquoi Kim a choisi d’engager la (…)
, par AFP
Les députés sud-coréens ont destitué samedi le président Yoon Suk Yeol, après sa tentative ratée d’imposer la loi martiale et de faire museler le Parlement par l’armée le 3 décembre.
Les dizaines de milliers de manifestants massés à l’extérieur de l’Assemblée nationale ont explosé de joie à (…)
, par NODINOT Axel
La lauréate du prix Nobel de littérature était mélancolique. Elle revenait sur son parcours devant une assemblée qui acclamait la première Sud-Coréenne à être ainsi célébrée, la 18e femme seulement en 117 éditions. Pas dépaysée par le froid suédois, la Séoulite a cependant échappé à la neige. (…)
, par ROUSSET Pierre
L’imposition, le 3 décembre, de la loi martiale par le président Yoon Suk Yeol a été rapidement mise en échec. Une bonne nouvelle, mais pas seulement.
Yoon Suk Yeol. Crédit Photo DR
Les raisons qui ont poussé le président Yoon à initier un putsch fort mal préparé restent obscures (comme la (…)
, par RUIZ Camille
Le soir du 7 décembre, à l’issue d’une procédure de vote qui a tourné court, le président sud-coréen Yoon Suk-yeol se maintient au pouvoir. Il avait décrété la loi martiale quatre jours plus tôt avant de reculer, sous la pression populaire et celle des députés. Depuis, chaque soir, des (…)
, par GODIN Romaric
Le pays asiatique est une des plus grandes réussites économiques des cinquante dernières années. Mais il doit désormais faire face à de nombreux défis et risque, comme d’autres démocraties, de basculer dans une forme d’instabilité.
Le coup d’État institutionnel raté du président sud-coréen (…)
, par WON Youngsu
L’auto-coup d’État du président Yoon Suk Yeol a échoué en 153 minutes. Bien que la situation reste instable, la population est à l’abri de la menace d’une confrontation militaire ou d’une répression.
Que s’est-il passé ?
Le 3 décembre à 22h29, Yoon a déclaré qu’il imposait la loi martiale, (…)
, par RUIZ Camille
Dans la nuit du 3 au 4 décembre, le président conservateur Yoon Suk-yeol a déclaré la loi martiale à la stupeur générale. Six heures plus tard, il a dû reculer, sous la pression populaire et celle de l’opposition. Une motion de destitution a été déposée au Parlement.
Séoul (Corée du Sud).– Au (…)
, par La rédaction de Mediapart
Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a proclamé mardi la loi martiale, invoquant la menace des « forces communistes nord-coréennes » et dénonçant l’obstruction de l’opposition au parlement. Mais, comme le permet la constitution, l’Assemblée nationale a voté une résolution réclamant sa levée. (…)
, par KCTU
L’inimaginable s’est produit. La loi martiale a été déclarée pour la première fois en 44 ans. Le 3 décembre, Yoon Suk-yeol a fait une déclaration d’urgence au bureau présidentiel de Yongsan, tard dans la nuit, et a déclaré la loi martiale. Bien que la raison déclarée de la déclaration de la loi (…)
, par Réseau syndical international de solidarité et de luttes
Le 3 décembre, le président sud-coréen a déclaré la loi martiale. C’est la première fois depuis 44 ans. Malgré la pression des forces armées (hélicoptères et véhicules blindés près du Parlement, tentative d’intrusion des forces spéciales) les membres du Parlement coréen ont immédiatement voté la (…)
, par BARR Heather
La Corée du Sud est confrontée à une épidémie de crimes sexuels numériques ; des centaines de femmes et de filles y sont ciblées par des images sexuelles truquées et partagées en ligne. L’un des groupes partageant ces images compterait 220 000 membres. Le nombre de cas de truquages (…)
, par ROUSSET Pierre
L’opposition progressiste de Corée du Sud a remporté les élections législatives du 10 avril dernier, un désaveu cinglant pour le président conservateur Yoon Suk Yeol. Elle n’obtient cependant pas la majorité des deux tiers. Quant à la Corée du Nord, elle continue de développer ses capacités (…)
, par Courrier International
Un buste de Hong Beom-do, héros de la résistance contre le Japon et de l’indépendance coréenne, risque d’être retiré du campus de l’Académie militaire sud-coréenne. Le pouvoir conservateur en Corée du Sud estime que le général est une figure communiste. La plupart des journaux du pays décrivent (…)
, par HONG Myungkyo
Le 1er mai, un dirigeant syndical local du Korean Construction Workers Union (KCWU), nommé Yang, s’est immolé par le feu devant un tribunal pour protester contre les poursuites dont font l’objet des syndicalistes comme lui pour avoir mené des activités syndicales.
Un certain nombre de (…)
, par YAMANAKA Karen
La sixième réunion plénière élargie du huitième comité central du Parti du travail de Corée (PTC, WPK en anglais) s’est tenue du 26 au 31 décembre de l’année dernière. Le 26 décembre a été le jour où les drones de la Corée du Sud et de la Corée du Nord ont traversé leur territoire respectif. (…)
, by LEE Hyo-jin
Le principal syndicat coréen a fermement condamné le gouvernement jeudi 19 janvier après que ses bureaux aient été perquisitionnés par la police et le service d’espionnage la veille. Le syndicat a menacé d’organiser une grève nationale en réponse contre ce qu’il considère comme une persécution (…)
, par AHN Ashley
Les féministes de Corée du Sud prévoient de mener des manifestations nationales contre la violence sexiste ce week-end, les premières à avoir lieu simultanément dans plusieurs grandes villes depuis la pandémie.
Il s’agit d’une réponse à la vague antiféministe qui a déferlé sur la Corée du Sud, (…)
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